Voyage et Écologie en famille : comment concilier les 2, pour des amoureux des voyages comme vous et moi !
Alors quelle solution ! Je n’ai pas la solution parfaite: peut-être celle d’être le plus responsable écologiquement chez soi et d’emporter dans ses bagages cette façon de vivre, dans des destinations plus durables, en réinventant le voyage !
J’ai donc proposé à plusieurs mamans de partager leurs expériences pour vous montrer que chacun de nous peut agir à son niveau ! Le but n’est absolument pas de faire culpabiliser ni de vous montrer que nous sommes parfaits loin de là, mais juste de partager une réflexion qui « travaille » bon nombre d’entre nous ! Attention article long car les témoignages sur les gestes écologiques sont très précis!
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Au sommaire
- La complexité du tourisme
- Les gestes écologiques à pratiquer chez soi
- Mais alors pourquoi voyager ?
- Les gestes à transposer en voyage
- Des idées pour un tourisme durable en famille
La complexité du tourisme et du tourisme durable
Oui, voyager pollue, surtout si l’on emprunte souvent l’avion. Aucune raison d’en douter ! Chaque vol en avion que l’on prend pollue et n’aide en aucun cas le monde ! L’avion, mais aussi les bateaux de croisière (les tankers) polluent énormément !
Soyons conscient qu’il est impossible de contrebalancer notre impact. Quoiqu’on fasse dans notre vie de tous les jours, ça ne suffit pas à diminuer suffisamment l’impact de nos voyages ! Soyons convaincus que nous polluons et assumons, parce qu’effectivement nous ne sommes pas les plus gros pollueurs : les grosses entreprises sont bien pires ! Les états devraient montrer plus précisément le chemin.
La honte de prendre l’avion « flygskam » s’est aussi emparée de moi, car nous en avons abusé il y a 4 ou 5 ans ! Pourtant, je ne pourrais pas ne plus voyager du tout ! Pour diverses raisons dont je vous parle plus bas !
Je ne veux pas vous faire un point sur les chiffres, mais c’est impressionnant !
Pourtant, le tourisme a joué un rôle important pour sortir des populations d’un niveau de vie très bas, que ce soit à l’autre bout du monde, ou chez moi, dans les Hautes-Alpes, où sans le ski et ses stations trop bétonnées, fabricant de la neige artificielle, il n’y aurait plus personne sur le territoire à cause de conditions de vie trop dures vers la fin des années 60 !
Alors, comment faire pour assurer son double penchant écologique et voyageur… Allier nos gestes quotidiens et nos voyages…
L’écologie et moi au quotidien
Je crois que l’écologie a toujours été un peu autour de moi, en tant que petite fille, élevée au grand air dans la nature, près des rivières, bien avant que ce soit la mode ou un sérieux problème ! Toute petite, quand mes parents m’emmenaient en camping sauvage dans les Alpes sous la tente, le mot d’ordre de mon père était : « on part de l’endroit où nous bivouaquons en le rendant plus propre que ce qu’on l’a trouvé »… Je peux vous dire que, vers mes 8 ans, cela me faisait bien râler de ramasser les déchets des autres ! Mais ainsi, nous n’avons jamais eu de soucis pour nos bivouacs sauvages.
Puis, lors de mon premier voyage de 6 mois en couple et en sac à dos, j’ai pris conscience de posséder tout le confort matériel et même peut-être trop ! Nous avons choisi de vivre de façon plus minimaliste. Nous ne manquons de rien, mais beaucoup de choses nous ont été offertes, ou achetées d’occasion…
Nous sommes depuis 5 ans sur la route du zéro déchet, plutôt minimalistes, nous tentons les toilettes sèches en ce moment, nous achetons 90 % de nos objets d’occas. après une longue réflexion pour en mesurer toute l’utilité, nous récupérons l’eau des douches, notre maison est basse consommation, nous tentons de privilégier les producteurs locaux. Nous faisons au mieux, sans être parfait et sans vouloir convaincre tout le monde. Mais, notre empreinte carbone est toujours importante, plombée par les voyages…
Comment connaître son empreinte écologique ? C’est sur ces différents sites que j’ai fait le bilan, qui doit être encore amélioré pour le bien-être futur de nos enfants…
Les sites et calculateurs:
Les témoignages : pour l’écologie dans votre quotidien
Wendy
C’est récent puisque cela fait 1 an que nous avons mis des petites choses en place.
Sophie
Sensibilisée à l’écologie depuis toute petite (mes parents participaient fin des années 70 à une radio (à l’époque non autorisée) contre le nucléaire et pour protéger les chaumes des ballons des Vosges contre des sites militaires…
Claire
Nous sommes actuellement en pleine transition écologique dans notre quotidien ce qui a grandement changé nos habitudes et notre manière de consommer. Voici les différents gestes que nous avons mis en place :
Anais :
Notre démarche a commencé il y a 12 ans lors de la naissance de notre premier enfant. Nous voulions du mieux, du sain pour lui, nous voulions le faire grandir dans un monde sans produits toxiques, chimiques et qui polluent la terre et qui nous rendent malades.
Mais, alors pourquoi voyager ?
Quand on fait tous ces efforts pourquoi les réduire à néant, en partant en voyage… Parce que le voyage forme la jeunesse comme on dit…
Pour découvrir de nouvelles cultures :
Aucun doute, j’aime voyager – pas partir me poser sur une plage à l’autre bout du monde – mais aller à la rencontre d’une nouvelle culture, m’émerveiller de toutes les différences que l’on découvre en route (les poubelles en Argentine nous ont beaucoup amuser, la forme des boites aux lettres, les différences entre les panneaux de signalisation routière!), m’extasier devant des paysages superbes, et surtout faire des rencontres brèves ou longues, qui nous bousculent dans nos croyances, ou au contraire qui nous prouvent que nous sommes tous pareil…
Pour faire ressortir notre fibre écologique :
Très franchement, ce sont tous ces voyages qui ont créé la famille que nous sommes; les inégalités entre les peuples, les pays d’Asie poubelles à ciel ouvert de nos déchets occidentaux, nous ont fait avancer plus rapidement sur la question de la préservation du patrimoine commun naturel. En Europe, tous ces problèmes sont bien plus cachés!
Pour partager des moments intenses en famille :
Chaque voyage nous rapproche, les enfants et nous, nous partageons les bons moments, les moments plus difficiles en cas de galère, nous nous découvrons loin de notre confort habituel. C’est une force et des moments forts de notre famille, qui nous font toujours rire par la suite en s’en souvenant.
Pour rencontrer l’autre :
ses similitudes, ses différences…pour apprendre à ne pas juger, à ne pas se sentir au-dessus..
Vos témoignages :
Wendy:
Sophie:
Claire
Anais :
Alors comment voyage-t-on en se préoccupant du monde qui nous entoure ?
Quelles solutions pour allier Voyage et écologie en famille : Les gestes écologiques à emporter dans ses bagages
Comme dit plus haut, c’est en faisant tous ces gestes que l’on avance dans sa découverte de notre impact lors de nos voyages… Du coup, en partant en vacances, n’oublions pas tous ces efforts et poursuivons-les pour diminuer notre impact et pour faire découvrir ses gestes à d’autres populations…
– Acheter local – voyage et ecologie en famille #1
Par exemple, acheter local ! C’est important chez soi, mais aussi à l’étranger ! En Amérique du Sud, nous avons évité au maximum les grands supermarchés Carrefour (sauf en cas de grave manque de fromage!) pour acheter auprès de la population locale, directement aux petits vendeurs ambulants ! Là, notre tourisme leur apporte une source de revenus directe ! Et c’est l’occasion de papoter et d’en savoir plus sur leur façon de pratiquer l’agriculture, la cuisine!
– Économiser l’eau – voyage et écologie en famille #2
On évite de prendre chaque soir un hôtel avec une grande piscine, dans une région désertique ou en état de sécheresse. On passe moins de temps sous la douche, car souvent ce sont des réserves d’eau difficilement remplies.
En 4×4, en Amérique du Sud, nous tenions avec 16l pour 3 jours à pour se doucher et laver la vaisselle! Et nous étions propres et nos assiettes aussi! Cela fait relativiser, et maintenant on surveille notre consommation aussi à la maison!
– Privilégier des transports moins impactants #3
On arrête les sauts de puce en avion à l’intérieur du pays, on prend les transports en commun. Ce sont aussi là que naissent de chouettes rencontres !
– Faire attention au greenwashing des écolodges #4
Ce sont souvent de gros groupes hôteliers, qui peuvent se permettre de créer des écolodges en plein désert avec une piscine !
Dans notre famille, nous préférons moins de confort, mais au plus proche des gens du coin, pour vivre comme eux ! Et si nous choisissons un hôtel plus confortable, nous évitons les graines chaines…
– Préserver les lieux et la faune – voyage et écologie #5
Ne rien toucher: ni animaux, ni monuments, et ne pas sortir des sentiers quand on visite un lieu est extrêmement important.
À cause de ce non-respect des règles élémentaires souvent affichées en long en large et en travers, des sites deviennent inaccessibles ou ultra contrôlés avec des quotas comme le Machu Picchu, ou aux temples d’Angkor ! Bien penser que les règles que nous enfreignons le sont par des millions d’autres personnes. Notre petit écart n’est rien en soi, mais multiplié par des millions c’est la destruction d’un éco-environnement.
– Réduire ses déchets – astuce #6
Sachant que certains lieux sont envahis de déchets plastiques ramenés par les eaux maritimes, pas besoin d’en rajouter ! On emmène avec soi notre pack zéro déchet : une gourde par personne, des sacs réutilisables pour faire ses courses, sa paille inox si vraiment vous ne pouvez pas vous en passer, son emballage sandwich. Et surtout son sac poubelle pour y mettre ses déchets et ceux des autres que nous pouvons ramasser également.
Souvent à l’étranger, le vrac de nombreux produits n’est pas accessible ; on privilégie alors des emballages qui peuvent recycler localement : des emballages papier, cartons que l’on peut brûler facilement. En un mot : le moins de plastique possible ! On prend notre sac de course réutilisable; En Amérique du Sud, les gens nous demandaient toujours pourquoi nous ne voulions pas leur sac plastique, nous leur avons expliqué et souvent ils nous disaient que c’était une très bonne idée! Et certains ont dit qu’ils le feraient aussi.
– Choisir des produits non polluants #7
Pour son shampoing pour son gel douche, on privilégie des marques dont les composants de leur produit ne détériorent pas l’environnement. On tente de partir avec des savons solides, des crèmes solaires qui n’ont pas d’impact sur les coraux, la faune des océans…
Attention : nos enfants ont perdu nos stocks de shampoing solide en moins de 3 semaines, ensuite il ne fut plus possible de trouver ces produits que je conseille pour le reste du voyage ! Donc on a tenté de trouver les savons les plus neutres possible pour la suite.
– Voyager léger #8
Chaque kg à bord de l’avion impacte sa consommation… Moins vous avez de bagages, moins le vol sera polluant…
Des idées alliant voyage famille et écologie pour un tourisme durable et responsable
Bon après toutes ces suggestions, voici quelques idées pour un tourisme responsable et durable, c’est-à-dire pour voyager en ayant conscience de son impact sur l’environnement et sur la population locale et essayant de faire au mieux pour les respecter, de façon équitable et solidaire
– Voyager à pied – vers un tourisme durable en famille #9
C’est sûr que ce n’est vraiment pas comme cela qu’on va pouvoir aller loin, ou alors en 5 ans comme mon ami Ludovic Hubler, qui a fait le tour du monde ! Mais, tous les marcheurs au long cours affirment que c’est vraiment une façon idéale d’être au plus proche des locaux.
Sinon, choisissez un petit coin de France, ou d’un endroit accessible en train , pour découvrir les alentours:
- le tour de la Vanoise
- découvrir les Calanques
- nous pensons à tenter une traversée facile du parc des Ecrins
– Opter pour le vélo – Voyage et écologie #10
De nombreuses familles ont déjà franchi le pas ! Là aussi, cela se passe souvent en France, mais aussi en Hollande – Pays-Bas, en Allemagne, etc. des destinations ou les pistes cyclables sont majoritaires pour y circuler en sécurité avec vos enfants.
– Changer de mode de transport – idées tourisme durable en famille #11
En décidant de partir avec des chevaux, des ânes, en roulotte, vous partirez pour une nouvelle aventure, qui n’a pas besoin de se dérouler à des milliers de kilomètres de chez soi.
Et si le moyen de transport faisait partie du voyage… En prenant le bus pour traverser la France, c’est l’occasion de ne pas conduire et de prendre le temps de voir le paysage… Des stops dans des villes à visiter peuvent être très dépaysants, en partant à la recherche de son hôtel au dernier moment comme lorsqu’on est en mode sac à dos routard à l’étranger.
Nos articles :
– Partir en voiture (pleine) et sinon faire du covoiturage #12
Quand on est plus de 3, la voiture reste quand même plus économique. À 4, c’est moins polluant que de prendre l’avion et s’il reste une place dans la voiture, on prend des gens en covoiturage et les autostoppeurs !
Quelles drôles de rencontres avons-nous fait en Amérique du Sud, à prendre les bergers sur les routes d’Argentine, du Pérou, de la Bolivie !
– Réduire ses vols en avion et réapprendre à rêver #13
Le plus gros impact que nous avons c’est sur nos nombres de vols ! Donc, réduisons-les au maximum !
Par exemple en 2020, nous avons volontairement décidé de ne pas prendre l’avion. Nos projets sont de faire des road-trips en France, voire dans les pays frontaliers (bon à voir en fonction de la sortie de crise du Covid 19 ! Bon là encore, nous sommes loin d’être parfaits, ce sera avec notre 4×4, qui est en bien meilleur état que notre voiture !
Une idée pourrait être de se réserver un grand voyage en avion un an sur 2 seulement, comme avant quand les prix des billets valaient encore quelque chose. C’est ce que nous faisions auparavant, jusqu’à ce que la frénésie du blog, d’instagram nous a incités à prendre l’avion jusqu’à 4 fois dans une année ! En prenant du recul sur les 2 dernières années, nous nous sommes aperçus que nous n’apprécions plus la préparation et le rêve entrainé par une longue attente de 2 ans par exemple. Pourtant c’est à cette époque que nous savourions bien plus la préparation du voyage !
>> des idées des destinations sans avion
– Sortir des sentiers battus – voyage et écologie #14
Sortir des sentiers battus, c’est aller là où le tourisme n’est pas trop développé. Mais ce n’est pas forcément courir après le sensationnel et l’insolite. Faire un 1er bivouac en pleine nature, sous les étoiles à 50 m de chez soi peut-être un souvenir incroyable …
Partir hors des sentiers battus, c’est découvrir des choses ou des lieux avec moins d’intérêt, mais dont l’authenticité en fera tout le charme. Pour cela, découvrez des guides de voyage différents: les guides Tao.
Notre séjour au Col d’Ornon cet hiver, nous a permis de rencontrer de nombreuses personnes qui veulent comme nous concilier leur activité touristique, mais aussi leur cadre de vie agréable.
Choisir une petite route, plutôt qu’une grande nationale, nous a permis de rencontrer avec le cacique (maire) d’un village bolivien et d’échanger nos visions du monde, en en faisant la rencontre qui nous a le plus bousculé du voyage !
Sortir des sentiers battus, c’est aussi ne pas choisir la meilleure saison pour découvrir telle destination. Par exemple, randonner en février dans les Calanques de Marseille est un vrai plaisir… Je n’ose pas trop imaginer l’été! Mais nous n’avons pas pu nous baigner, mais avons ourtant profiter d’un superbe week-end!
– Choisir des agences de voyages, hébergement et activités engagées, ou les boycotter. #15
De nos jours, de nouvelles agences de voyage émergent, mettant en avant les valeurs de solidarité, de tourisme équitable. Choisissez-les bien ! Pour les hébergements, vous avez par exemple le site fairbooking.com
Si l’on s’aperçoit que des activités ne vont pas dans le sens de nos valeurs, on les boycotte.
Et on se modère même pour les activités bien encadrée, respectant les règles : par exemple, je ne vais pas vous dire de na pas faire une croisière pour observer les baleines, car j’ai déjà eu cette chance magique. Par contre, nous ne l’avons pas pratiqué ni au Sri-Lanka, ni à la Péninsule Valdès pour éviter de trop impacter ces animaux !
Choisir également des établissements certifiés ou labellisés: En créant cet article, j’ai découvert une foule de label permettant de s’assurer que votre destination, hébergement, activités s’inscrivent dans un tourisme durable. Il fut un temps où j’aurai dit que ces labels sont un peu du greenwashing, sont du marketing facile. Mais je pense qu’il faut arrêter de tout critiquer pour reconnaître les efforts qui sont fait pour nous aider à faire nos choix. Voici donc les labels que j’ai repéré (si cela vous intéresse, je pourrais approfondir le sujet dans un prochain article):
- Chouette nature, label des villages vacances de Cap France,
- Gites Panda WWF, label pour des gîtes Gîtes de France situés dans des parcs naturels français et favorisant l’observation et la protection de la faune,
- Pavillon Bleu, label évaluant le développement du tourisme durable des ports de plaisance et des plages en France et à l’étranger,
- Accueil Paysan, pour un label regroupant agriculteurs et acteurs ruraux favorisant l’agriculture paysanne et le tourisme durable, solidaire et équitable,
- La Clef Verte, label pour les hébergements et restaurateur mis en place par Teragir,
- Hôtels au Naturel, label pour des hôtels situé dans des parcs naturels régionaux, misant sur la préservation de l’environnement,
- Green Globe, certification internationale applicable à tous les acteurs du tourisme,
- Eco-Label Européen…
Vos idées pour allier voyage et écologie
Wendy
Pour l’instant ne pas prendre l’avion m’est plus que difficile puisqu’il me permet d’assouvir ma soif de découverte du Monde. Le train à 5 est plus cher que l’avion.
Sophie
Prendre moins l’avion évidemment : nous ne le prenons déjà que rarement : pour nos gros voyages, soit une fois tous les ans ou tous les 2 ans.
Claire
Je pense que nous avons toujours eu une manière de voyager assez respectueuse de l’environnement et des populations.
Anais :
Il y a quelques mois, nous avons décidé de faire un road trip à travers les pays Balkans , afin que nos enfants se rendent compte de l’impact écologique que nous avons
Des sites pour aller plus loin dansla réflexion:
- ATD: acteur du tourisme durable
- Voyageons-autremernt
Voilà, j’espère que vous êtes arrivés à bout de ce très long article. Comme dit au début, le but n’est vraiment pas de faire la morale, notre famille est bien loin d’être parfaite, mais juste de vous donner des idées pour tester une autre façon de faire ! Alors, partagez vos idées en commentaire!